QUI SUIS JE 3 ANTONIN BRUNET POITIERS

Antonin Brunet, passionné de photographie dans la Vienne

Jeune trentenaire de la région poitevine, je me définirais avant tout comme un grand curieux qui ne se lasse jamais d’apprendre ! Je ne saurais dire d’où cela me vient mais ce qui est sûr, c’est que de l’exploration des fourmis dans le jardin quand j’avais 5-6 ans jusqu’aux lectures d’articles scientifiques pendant ma thèse de doctorat, ça ne m’a jamais quitté ! Eh oui,  avant de devenir photographe de mariages et de me lancer à mon compte, mes deux pieds étaient dans la recherche.

À cette curiosité, je dois d’avoir de (trop) nombreuses passions et il me faudrait sans doute plusieurs vies pour pouvoir m’y consacrer ! J’adore entre autres la nature, comprendre la biodiversité, les bandes-dessinées, les jeux de société, les photographies en général que ce soit en prendre ou en admirer, la zététique, l’astronomie, et je passe sur quelques autres…

Trois anecdotes sur moi

  • Je m’habillerai en dinosaure le jour de mon mariage !

Bon ok… Peut-être pas pour la totalité de l’événement ou pour les cérémonies trop officielles (quoique…). Mais soyez-en sûrs, une partie au moins de mon mariage sera vécue en costume de dinosaure ! « Mais pourquoi ? » me demanderez-vous ! Eh bien, mes parents se sont mariés quand j’avais 4 ans. Et si je n’ai pas beaucoup de souvenirs de cette journée, on m’a très souvent conté cette anecdote que je m’apprête à vous révéler. En vue de ce mariage, ma maman m’avait informé que nous allions devoir me trouver un joli costume pour que je sois tout beau le jour J ! Tout joyeux de cette nouvelle, elle m’avait emmené en essayer plusieurs chez un tailleur. À mesure des essais, mon euphorie laissait place à une mine bien plus déconfite ! C’est en rentrant à la maison que mes parents me demandèrent « Antonin, qu’est-ce qui ne va pas ? Tu n’es pas content des jolis costumes que tu as essayés ? ». Et moi de leur répondre en pleurant : « Je voulais un costume de dinosaure !! » Aujourd’hui encore, je porte les séquelles morales de cette grande déception ! C’est pour cette raison que je me consolerai le jour de mon mariage en portant le costume de MON choix. Mais chut, ne dites rien à la future mariée, elle n’est pas au courant…

  • Avant d’être photographe, j’étais linguiste !

Juste avant de me reconvertir en tant que photographe de mariage, j’étais en thèse au laboratoire de linguistique de Poitiers. Ma thèse portait sur l’enseignement du Français Langue Étrangère, à savoir comment enseigner le français aux personnes dont ce n’est pas la langue maternelle. Je vous épargnerai les détails concernant son titre et son contenu qui pourraient s’avérer beaucoup trop sérieux pour cette page. En revanche, il semblerait que je n’aie pas attendu d’être en thèse de doctorat pour mener de sérieuses réflexions sur notre belle langue et son fonctionnement. Dès l’âge de 4 ans j’explorais déjà sur les questions linguistiques sérieuses qui pour l’heure restent non élucidées. Par exemple : Amérique – Américains, mais alors pourquoi pas Belgique – Belgicains ?! Quand mes parents me proposaient un œuf à la coque pour le dîner, je rétorquais que ce n’était pas possible et qu’il fallait dire un œuf à la poule ! C’est évident non ? Je vous laisse méditer là-dessus.

  • J’ai pleuré lors de ma première photo de martin-pêcheur !

Comme vous pourrez le lire plus loin sur cette page, ma passion pour la photographie est intimement liée à mon amour de la nature. Cette troisième anecdote que je vais vous raconter est donc celle de ma première rencontre avec un martin-pêcheur. Plus de 18 heures d’affût. 18 heures passées à scruter la surface à la recherche de la petite lueur bleue. 18 heures passées à l’écoute, espérant entendre ce sifflement si singulier annonciateur de sa venue.18 heures investies de manière plus ou moins méthodique à le chercher dans son environnement pour systématiquement rentrer bredouille. Alors quand le martin vint enfin se poser à quelques mètres de mon affût, l’émotion de cette première rencontre était déjà forte : un mélange de surprise, de contemplation, d’adrénaline… Pour un cartésien tel que moi, il est difficile de croire aux signes ou au destin.

Paysage urbain de Poitiers en image

Moi et la photographie : une grande histoire d’amour

Je dois d’être tombé dans la photo grâce à mon papa, photographe amateur passionné depuis des années.

C’est lors de mes différentes excursions scolaires que mes parents m’avaient acheté mes premiers appareils. Tout d’abord un appareil jetable pour un voyage en classe de neige en CM2. Puis mon premier appareil numérique, plusieurs années plus tard, lors d’un échange de 2 mois en Bavière alors que j’avais 16 ans. Durant ces premiers déclenchements, mon attrait pour la photo se résumait à ramener des souvenirs, mais n’est-ce pas là l’essentiel ?

C’est à partir de 2013, lors de mon année en tant qu’assistant de français en Écosse, que mon goût pour la photographie s’est développé de manière exponentielle ! Je prenais de plus en plus de plaisir à retranscrire tout ce dont je pouvais être témoin. C’est lors de cette année que j’ai construit mes premières réflexions esthétiques, que j’ai pris les premières images envers lesquelles j’éprouvais une certaine fierté. De manière totalement autodidacte et via de nombreuses randonnées, j’explorais alors les bases de la composition ainsi que l’identification d’un réel sujet.

Après une activité moindre durant mes années d’études, c’est en 2017 que j’achète mon premier vrai boîtier afin de me replonger dans la photographie avec plus d’application. Je parcours alors les vidéos sur Youtube à la recherche de tutoriels et de conseils pour progresser et c’est de cette manière que je suis tombé sur une vidéo de FabWildPix allant photographier le martin-pêcheur. C’est la révélation : je peux allier deux passions, mon attrait pour la nature et la photographie.

Pendant toute ma thèse, dans les bons et surtout dans les mauvais moments, aller faire des photos animalières deviendra mon exutoire ! Cela m’a permis de m’évader à plusieurs reprises. Depuis, que tout aille pour le mieux ou que tout s’effondre, la photographie ne m’a jamais quitté et m’a toujours fait le plus grand bien. Cette passion m’a aidé à porter un regard très différent sur ce qui m’entoure, à voir et constater de la poésie là où je ne faisais que passer auparavant, à apprécier davantage les choses plus immédiates et palpables de notre environnement que ce qu’offre la routine métro-boulot-dodo.

J’aime fondamentalement les rencontres que j’ai faites grâce à la photographie. Je participe à des réunions mensuelles avec un groupe d’amis photographes pour échanger sur nos images, nos techniques, nous apporter des conseils… Sans eux, je n’aurais jamais atteint un tel degré d’exigence et une telle philosophie envers mon propre travail. J’adore par-dessus tout les possibilités infinies d’apprentissage, de perfectionnement et de méticulosité que cette passion m’offre ! C’est une pratique qui me stimule perpétuellement, condition essentielle à mon épanouissement.

La photographie est un art et l’éventail de styles artistiques tous plus poétiques, envoûtants et variés les uns que les autres, est une source perpétuelle d’émerveillement ! Je ne cesse d’être bluffé et enthousiasmé par l’éclectisme des approches que je découvre au fil des expositions auxquelles je me rends.

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